Présentation
La Salle Goullencourt comprend une série de portraits de juristes, toiles peintes et bustes d'anciens maîtres souhaitée par le doyen de Rozière à partir de 1890, avec le souci de composer une collection de sommités juridiques parisiennes et de constituer « un document important pour l'histoire de l'enseignement du droit au XIXe siècle ». Il s'agissait surtout d'imiter la Faculté de Médecine et l'École de Pharmacie, toutes deux riches en tableaux anciens.